Jeudi 22 août

CINEMA
18h00

Arrêtez-vous chez Yvonne à Maël-Carhaix, reprenez la route en direction du nord pour manger une soupe chez Marie à Locarn puis un dernier canon chez Yvonne à Saint Gilles. Tous ces cafés commerces, arbres à palabre plantés au milieu des villages tisserands des liens sociaux, attestent d’une époque presque révolue dont les anciennes enseignes sont les témoins.


LIORZHOU – JARDINS
20h30 – 23h

HABIA

Amaia Hiriart : violoncelle
Elena Haira : alto
Maia Iribarne : violon

Elles sont trois cordes et trois voix à la fois. Elles jouent un répertoire tiré de la tradition basque et des créations. Elles nous proposent un répertoire qui nous plonge dans les grands thèmes de la vie, de leur vie, aujourd’hui. Plongées dans leur culture, elles nous invitent à partager un moment délicat et précieux tissé de douceur, de puissance et de malice. Le trio nous offre aujourd’hui une musique à écouter, à voir et à ressentir.


BUGEL KOAR

Marthe Vassallo: Chant, Texte
Philippe Ollivier : Bandonéon, Accordéons, Samples…

De la musique de Bretagne, évidemment, mais avant tout musique tout court, magique, bouleversante et déjantée. En intégrant tout naturellement dans un univers de compositions originales ce que la tradition a de plus viscéral et de plus communicatif, en y ajoutant une fantaisie et une passion hors du commun, Marthe Vassallo et Philippe Ollivier, sous la bannière de Bugel Koar, mettent en commun le butin de quinze ans d’aventures tous azimuts. Ici, pas de mouettes sur la lande à l’ombre des menhirs en fleurs. Bugel Koar chante en breton comme d’autres chantent en anglais, en français ou en wolof : pour raconter le monde, l’amour, la chair, le besoin et la peur, le bonheur qui fait mal, la tristesse qui guérit, le rire qui lave.


ENSEMBLE CHAKÂM

Sogol Mirzaei : Târ
Christine Zayed : Qanun et chant
Marie Suzanne De Loye : viole de gambe

Les trois musiciennes de Chakâm dévoilent un langage où les cordes dialoguent, s’affrontent et se retrouvent dans un souffle puissant ou au contraire apaisé, lorsque le chant, en quelques occasions, s’élève. Chakâm, c’est un univers à la croisée des parcours : nostalgie des terres quittées trop tôt, déracinement et idéalisation d’un ailleurs qui s’efface au fil du temps, mais aussi vitalité incessante de l’expérience, de la découverte et du renouveau. En soit, pas très éloigné d’une certaine époque bretonne.